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Frédéric LAVAL, Conseiller Départemental des Hautes-Pyrénées
Frédéric LAVAL, Conseiller Départemental des Hautes-Pyrénées
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25 janvier 2008

L'UMP fait perdre 5 milliards à la Société ...Générale

soci_t__g_n_rale_embrouilleJérôme Kerviel, salarié de la banque Société Générale, était aussi sur une liste UMP aux élections municipales en 2001(Information de France Inter ce matin).

Malgré un poste loin d'être au sommet de la pyramide de décision, Kerviel a réussi à faire perdre 4,9 milliards d'euros à sa banque (et sans doute à beaucoup d'actionnaires !).

La SG veut nous faire croire qu'il a agi seul. Ainsi un "simple trader" (A 100 000 euros par an tout de même !) peut jouer avec 40 millliards d'euros (C'est la somme minimale estimée qu'il aurait positionnée pour arriver à une telle perte...) sans que personne ne s'en rende compte, et ceci pendant des années !!

La SG est soit vraiment TRES TRES riche, soit vraiment TRES TRES mal gérée. L'un OU l'autre, ou, l'un ET l'autre !

Quand on pense que le gouvernement Sarkozy / Fillon a du mal à trouver 1 milliard pour les banlieues, et recherche 1,5 milliards pour honorer l'ânerie de Sarkozy de supprimer la pub sur les chaînes publiques !

5 milliards envolés ! Merci l'UMP !

Kerviel candidat UMP :

Finalement, après une minutieuse recherche, Jérôme Kerviel était bien sur la liste UMP de Thierry Mavic en 2001 à Pont-L'Abbé dans le Finistère ! ( La preuve ici : Pressez vous, elle peut disparaitre ! On ne sait jamais...)

Après le numéro 1 : Sarkozy qui a fait perdre 15 milliards d'euros à la France grâce à son programme fiscal vite voté en 2007, le numéro 2 est Jérôme Kerviel avec seulement 4,9 milliards de perte.

Quel sera le prochain UMP de cette liste ? Réponse au fil des événements économiques...

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Commentaires
G
Allo DSK ? Il faut la taxe Tobin, vite ! <br /> Par Hervé Nathan, rédacteur en chef à Marianne. Où l'on comprend que l'arnaque de la Société Générale n'est pas un fait divers et que les grands maux, tels, la crise des subprimes, appellent les grand moyens. <br /> <br /> <br /> Depuis les révélations sur la présumée « fraude » d'un trader de la Société générale, les médias ne savent plus quels mots employer : « casse du siècle (France-Soir), « irresponsabilité générale » (Libération), « l'homme qui a fait sauter la banque » (Le Parisien) « qui a fait perdre 5 milliards à la Société générale » (Le Figaro). Si l'on y ajoute les commentateurs économiques qui se désolent à la radio et ceux qui s'interrogent à la télévision, on en arrive à trois conclusions : <br /> <br /> 1-Rien n'est plus urgent désormais que de traiter un fait divers, centré sur un personnage à la fois mystérieux et fascinant (il faut être Fantomas pour faire un coup pareil) et étrangement anodin (avec sa tête de gendre idéal) : le jeune trader Jérôme Kerviel. Rien n'est plus urgent que d'interroger ses parents. Le père a déjà été entendu sur une radio. La maman le sera bientôt. On sait déjà que le jeune homme aurait eu une déception amoureuse, on apprendra bientôt quelle note a obtenu le rejeton en calcul de probabilités de la classe de seconde, etc.…. Dans quelques jours, son bulletin scolaire sera en ligne ! <br /> <br /> 2- A défaut, et plus sérieusement, on recherchera les responsabilités des dirigeants de la Société générale. La version présentée par Daniel Bouton, PDG de la Société générale, amène davantage d'interrogations que de réponses. Mais on sait déjà qu'ils devront répondre de la perte de la majeure partie des 4,5 milliards d'euros envolé. Car c'est, selon le gouverneur général de la Banque de France, Christian Noyer, « la décision de la banque de vendre lundi et mardi dans les pires conditions de marché qui a conduit à ce niveau de perte ». Autrement dit, si la SoGé n'avait pas vendu ses positions en plein krach, la perte aurait pu être contenue à un milliard d'euros, voire beaucoup moins ! <br /> <br /> 3- Du coup, le débat politique sur la crise du capitalisme financier, illustré par la déconfiture des marchés immobilier, des matières premières, la montée de l'inflation et des faillites bancaires dans le monde entier, auquel Marianne apporte sa contribution dans son numéro 562, est passé au second plan des préoccupations. C'est exactement ce que souhaitent les leaders économiques : que l'on s'intéresse au fait divers, pas aux vrais affaires. C'est aussi ce que demande Christian Noyer, aux médias : « Surtout ne confondez pas l'affaire de la Société Générale, et la crise des subprimes », suppliait-il jeudi. <br /> <br /> Pourtant, la SoGé a « aussi » perdu près de 2 milliards d'euros dans l'affaire des subprimes et d'autres engagements du même genre (comme les « monolines »). Et il y a bien quelque chose de commun entre l'immobilier américain et Jérôme Kerviel : la recherche du profit le plus élevé dans le temps le plus court possible, permise et encouragée par la financiarisation de l'économie. De la même manière que Kerviel cherchait des gains en vendant et revendant très vite des promesses d'achat (ou de vente) d'actions à terme, les banques prêtaient à des Américains de quoi acquérir leurs logements, revendaient aussitôt ces créances sur les marchés (découpées en petits morceaux), puis prêtaient à nouveau à d'autres Américains (voire aux mêmes). Plus d'argent plus vite, le plus souvent par emprunt, voilà une très bonne synthèse du capitalisme contemporain ! À tel point que les marchés de produits strictement financiers (transactions sur produits dérivés, changes, finance) sont devenus 200 fois plus importants que les transactions de l'économie réelle (sur les biens et les services, soit le PIB mondial). <br /> Cette masse de transactions, environ 1200 milliards de milliards de milliards de dollars par an, permet de prélever à chaque opération un petit profit. Les banques sont les premières à profiter de ce phénomène : la Société générale, par exemple, affichait un bénéfice net de plus de 5 milliards d'euros, pour un chiffre d'affaires (produit net bancaire) de 22 milliards. 25% de rentabilité nette, qui dit mieux ! <br /> <br /> DSK et les alters sont bien assoupis <br /> Qu'y peut-on ? se demande le citoyen, sidéré par les masses en jeu. Et bien, on y peut quelque chose. Il existe un instrument dont doivent s'emparer les sociétés pour calmer ce jeu planétaire délétère : la taxe Tobin, du nom de l'économiste libéral James Tobin (1918-2002) qui l'inventa. Elle consiste à prélever une taxe sur chaque transaction financière pour augmenter le coût de la spéculation (pas la supprimer), et mieux encore de taxer davantage les transactions courtes (de l'heure, de la journée, de la semaine) pour favoriser les investissements longs (six mois, une ou plusieurs années). Tobin voulait faire de sa taxe un instrument pour éviter la spéculation sur les monnaies. On peut l'adapter à toutes les spéculations : sur les monnaies, les produits dérivés, les matières premières, le pétrole... La taxe Tobin, en frappant les transactions les plus spéculatives, diminuerait leur profitabilité, donc leur attrait pour les banques, les traders, etc. Le produit de la taxe pourrait aller dans des fonds de stabilisation, ou subventionner la lutte contre la pauvreté, contre l'effet de serre, etc. Elle peut être mise en œuvre. <br /> Il existe des institutions internationales pour porter un tel projet, à commencer par le FMI, auxquels les Etats ont confié la mission de veiller sur la stabilité monétaire et financière mondiale. Si son directeur, un socialiste français, paraît-il, sortait de sa léthargie, il aurait là un beau combat à la mesure de son intelligence que l'on dit sans pareille. <br /> Dominique Strauss-Kahn n'est pas le seul assoupi. Les altermondialistes eux-mêmes semblent comme au congélateur. Pour la première fois depuis 2000, il n'y aura pas de forum social mondial (FSM), ni à Porto Alegre au Brésil, ni en Afrique ou en Inde. On n'entendra cette année que l'hymne à la « globalisation », poussé par les puissants réunis à Davos. Il faut éviter cela. C'est en ce moment l'anniversaire de la mort de l'Abbé Pierre. Comme lui, disons « Mes amis, il faut la taxe Tobin, vite ». Tous ensemble, évidemment. <br /> <br /> <br /> Samedi 26 Janvier 2008 - 00:02<br /> Hervé Nathan
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T
Vous faites une fois de plus la démonstration publique de votre sectarisme.<br /> Continuez ainsi à croire que vous êtes les meilleurs et que vous ne vous êtes jamais trompés : LA GAUCHE aura encore de beaux jours dans l'opposition
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L
Le militant lambda que je suis trouve que l’on est en plein paradoxe<br /> Tout d’abord toi Fred, tu te sens obligé de préciser que ce pauvre trader était de l’UMP.<br /> <br /> Soit tu es naïf, soit c’est une boutade mais en tout cas c’est un pléonasme. Penses-tu un seul instant qu’un camarade de gauche puisse être trader.<br /> <br /> Crois tu que dans le temple du capitalisme il y ait autre chose que des types de droite voire peut être quelques brebis égarées de gauche.<br /> <br /> Quant à toi mon pauvre chouchou, tu t’indignes de l’attitude de Fred car ce dernier accuse les gens de l’UMP d’être de piètres capitalistes. Entre nous chouchou peut-il en être autrement ? Quand on sait les ravages que cette doctrine occasionne auprès de la population.<br /> <br /> Allez, on ne se refait pas, le squale vous souhaite une bonne soirée.<br /> <br /> Gros bisous à ma bloggeuse préférée, kitty.<br /> <br /> Bye-bye, le squale qui dort peinard, sans se soucier de ses économies !
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F
Les gens disent qu'au PS il y a trop de personnalités qui s'opposent.<br /> C'est sûr que dans les dictatures ce genre de phénomène n'arrive pas.<br /> Ainsi à l'UMP du temps des sondages mirobolants c'était la voix du maître qui ordonnait à tous.<br /> Heureusement l'UMP découvre lui aussi les joies de la liberté retrouvée avec des sondages chaque jour plus catastrophiques pour le leader minimo et sa politique de riches pour les riches.<br /> Si les umpéistes pouvaient profiter de cette liberté pour s'égayer sur la toile et pas seulement sur ce blog, ce serait avec un grand plaisir que je les verrais s'épanouir au lieu de souffrir ici.<br /> Masochistes peut être ?
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C
"Tenir ses candidats..."<br /> <br /> C'est ce que j'ai déduit que vous faisiez, vu votre article, qui entend que l'ump est responsable des agissements de tous ses membres<br /> <br /> Méthode propagandiste et mauvaise foi sont indignes d'un élu. Un militant lambda pourrait se laisser aller à dire des bêtises, mais un élu ? ce n'est pas très ragoutant.
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